Bis repetita placent. Ni les périples en Sibérie, ni la vie sentimentale d'Armand Schneider ne semblent suggérer le contraire. Loin de toute tentation moralisatrice, l'imaginaire caustique de Vincent Kappeler se déguise ici avec malice en une fable aussi désespérée que drôle. Puis, tout compte fait, si nous nous condamnons inlassablement à répéter les mêmes erreurs pourquoi ne pas s'en divertir?