Ce n'est pas de l'âge d'or du classicisme romain qu'il est ici question, mais d'une époque elle aussi révolue, d'un âge dormant, que Pierre Louis Péclat, muni de ses sels patrimoniaux, ravive – comme on le dirait d'une plaie ou d'un tableau terni par les ans – sans toutefois prétendre l'élucider. Un voyage en charrette, une remarque assassine, il suffit de peu pour modifier le cours d'une vie.