Quant on n'a plus rien, il nous reste les mots, avec eux, on peut jouer en toute liberté. Notre langue est toujours là, bien protégée par deux rangées de dents.
Les Calembourgeois décalés sont les vers d'un sexagénaire qui cherche à les apprivoiser avant de s'intéresser aux pissenlits qui le guettent.