Le père Paul Florensky, fusillé par les communistes, raconte la vie du starets Isidore, son père spirituel, qui a lui a servi de modèle dans sa vie d'homme et de moine. L'existence de cet ascète, relatée avec une tendresse toute chrétienne, fait découvrir la richesse et, en même temps, l'humilité de l'Église orthodoxe.